L’Unité pour l’ostéopathie promeut la recherche internationale ostéopathique

L’Unité pour l’ostéopathie (UPO), fondée de manière informelle en 2012 et dotée d’une existence légale depuis 2017, est à l’origine du dispositif de certification des établissements de formation en ostéopathie et de la norme nationale « Déontologie de l’ostéopathie » – NF S 99 806 – publiée en août 2021.

L’Unité pour l’ostéopathie travaille depuis 2021 à la promotion d’une stratégie nationale de recherche pour l’ostéopathie.

Outre des projets en cours de développement, l’UPO a décidé de financer la participation d’un chercheur français au programme de formation développé à la Faculté de Santé de l’University of Technology of Sydney (UTS), Australie, au sein de l’Australian Research Centre in Complementary & Integrative Medicine (ARCCIM).

Ce programme, intitulé « International Osteopathy Research Leadership and Capacity Building Program », s’étend sur trois ans et rassemble des chercheurs en ostéopathie provenant de différentes parties du monde (Australie, Brésil, Canada, France, Italie, Royaume-Uni, Suède, Nouvelle-Zélande). Il vise à former ces chercheurs à la direction de projets de recherche et inclut la publication de plusieurs articles scientifiques. Il contribue enfin à former une communauté internationale de chercheurs en ostéopathie, constituant en ce sens une première mondiale. 

Loïc Treffel (http://linkedin.com/in/treffel-loïc-baa664b5) a obtenu le financement de l’UPO et a été admis à la sélection du programme développé par l’ARCCIM, dont la première session s’est tenue à Sydney du 17 au 21 octobre. Loïc est ostéopathe titulaire d’un PhD en sciences de la santé (physiologie), chercheur à l’Institut Toulousain d’Ostéopathie au sein de l’Institut de Recherche Franc’Ostéo (IRF’O), il exerce également l’ostéopathie dans le secteur libéral. 

L’UPO remercie chaleureusement l’ARCCIM ainsi que son directeur, le Pr. Jon Adams, et le Dr. Amie Steel, pour l’ouverture à l’international de ce programme mis en oeuvre au sein de la faculté de santé de l’Université de Sydney.

Nul doute que ces démarches de coopération contribueront à la promotion de la recherche en ostéopathie en France.